B1.4 - Le féminisme

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Description

Le féminisme et vous … C’est quoi le féminisme pour vous ? Quelles sont les grandes figures du féminisme turc ?

https://www.youtube.com/watch?v=c9OCoxmO-ys

Compréhension orale a) b) c) d) e) f) g) h) i) j) k) l)

Façonner Une vague une sphère S’accentuer L’émancipation Acquérir Mettre en lumière Une discrimination Une cause La contraception L’avortement Laisser des traces

La première vague du féminisme Qui ?

1-Un domaine, un monde, qq chose de rond 2-Faire ressortir, mettre en évidence 3-S’affranchir d’un lien, d’une domination, se libérer 4-Un combat, une lutte. 5-Une méthode pour ne pas avoir d’enfants 6-Marquer l’histoire, avoir encore des conséquences 7-Modeler, donner une forme particulière 8-Interruption prématurée de la grossesse 9-Traiter différemment, le plus souvent plus mal 10Un moment particulier, un mouvement 11-Obtenir, devenir propriétaire d’un droit ou d’un bien 12-S’intensifier, devenir plus intense

La deuxième vague du féminisme

Quoi ? Comment ? Pourquoi ? Quand

Quelles sont les grandes avancées du féminisme ?

La troisième vague du féminisme

Un peu de grammaire …

Exercice 1 : 1/ Elle est sûre que les féministes (manifester) .………….. demain. 2/ Nous ne sommes pas certains que les femmes (être) …………….. très écoutées en Turquie. 3/ Je vois que tu (préparer) ……………… de belles pancartes pour la manifestation de demain. 4/ Elles sont persuadées que le gouvernement (accepter) …………….. cette proposition. 5/ Crois-tu qu’une femme (pouvoir) …………….. devenir chef d’entreprise ? 6/ Je doute que les hommes (accepter) ……………… de partager leurs privilèges. 7/ J’ai l’impression que les femmes (ne pas être) …………….. écoutées dans les entrerpises.

Exercice 2, transformez les certitudes en doutes : 1/ Je suis certaine qu’il va venir. 2/ Tu penses que cette femme est une FEMEN. 3/ Nous sommes sûrs que les féministes viendront à la manifestation. 4/ Ma sœur croit que les féministes sont des hystériques. 5/ Il trouve que les féministes ont raison. 6/ Vous êtes persuadés que les femmes sont égales aux hommes. 7/ Tu crois qu’elle acceptera de travailler avec nous. 8/ Je suis certaine qu’elle ira voir son patron demain.

https://create.kahoot.it/details/le-passecompose-avec-avoir/bffde419-0133-4b35b7b3-652354ef330f

https://create.kahoot.it/details/donnerson-opinion/9396189e-57f3-493a-8c7b59ed8d0421b2

1/ Que pensez-vous du mouvement féministe des Fémen ? 2/ Les Femmes en Turquie ont-elles autant de droits que les françaises ? 3/ Dans quelle domaines les femmes sont-elles les grandes perdantes ? 4/ Les femmes sont-elles toujours soumises en Turquie ? 5/ Que ressentez-vous à l’égard des féministes ?

Chronique : « Quand le féminisme devient terrorisme » Dans la nuit du 25 au 26 octobre dernier, à Meylan en Isère, un attentat a été commis dans une gendarmerie. Quatre véhicules appartenant à des familles de militaires, stationnés au pied d’un bâtiment de logements de fonction, ont été incendiés. 24 personnes ont pu être évacuées sans qu’aucune d’elle ne soit blessée. Pourtant, cet attentat qui n’a guère suscité de critiques, ni d’émotion, est le signe de la radicalisation d’une frange féministe. La revendication est venue dans un communiqué publié par un groupe féministe libertaire de l’ultra-gauche : « Lutter contre le sexisme, pour nous, c’est lutter contre le genre. Et lutter contre le genre, c’est refuser la logique de penser des société actuelles dominées par les hommes. Il écrit aussi : « nous ne voulons pas être définies par les particularités de nos corps mais bien par ce qui résulte de nos choix, nos éthiques et nos actes. Même si on aimerait détruire le genre, ça nous fait du bien de se retrouver aussi entre personnes qui partagent les mêmes sentiments. » Puis, les criminelles justifient l’attaque des voitures privées parce que « derrière l’uniforme il y a un humain, c’est à lui que nous avons cherché à nuire ». Et elles racontent leur assaut par une tirade sexiste, genrée, caricaturale. « Après un dernier sourire et un câlin, on a coupé le grillage. Avec dix litres d’essence, on s’est –discrètement– lancées à l’assaut du parking. » Cet attentat apparaît comme le premier commis en France par un groupe féministe. Il aurait pu avoir des conséquences « dramatiques » selon le procureur de la République de Grenoble. Heureusement, cela n’a pas été le cas. Cependant, nous restons stupéfaits par l’absence de condamnation du gouvernement et par le silence des associations féministes. Est-ce par lassitude ? Ou parce que ce groupe féministe est inconnu ? Ou parce que la correction politique veut qu’on ne dénonce que les attentats commis par les « mauvais groupes ». Il convient pourtant d’analyser cet attentat, de se demander comment et pourquoi ce groupe féministe a pu consciemment brûler des voitures et des habitations, prenant le risque de tuer de nombreuses personnes. A Meylan, la revendication égalitariste a conduit à un attentat. Il serait temps d’en prendre conscience et de le dénoncer pour ce qu’il est, et non pas de le passer sous silence. Ce silence est très dangereux car beaucoup de féministes radicales pourraient dans le futur vouloir recommencer ces actes de violence. 1/ Que s’est-il passé dans la nuit du 25 au 26 octobre ? 2/ Qui est à l’origine de cet attentat ? 3/ Y a-t-il eu des victimes ? 4/ La presse et les politiques ont-ils parlé de cet attentat ? 5/ Pourquoi le fait de ne pas avoir parlé de cet attentat est dangereux ?

La manifestation des féministes dégénère En marge des rassemblements officiels pour la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, une manifestation de militantes féministes a dégénéré samedi soir à Toulouse. En marge des rassemblements et événements officiels organisés un peu plus tôt dans le cadre de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, une marche «de nuit contre les violences sexistes en mixité choisie» s'est déroulée à l'initiative de militantes via les réseaux sociaux. Aux alentours de 19 heures, plusieurs dizaines de manifestantes, derrière la banderole «Laissez-nous mener la vie qu'on veut » sont parties du Monument aux combattants, près de la station de métro François-Verdier pour rejoindre l'hyper-centre de Toulouse via la place Saint-Aubin. C'est dans ce secteur que l'ambiance, déjà tendue au départ (le 25 novembre 2016, deux femmes avaient été interpellées au cours d'une manifestation similaire) est montée d'un cran. Selon une source policière, certaines contestataires auraient jeté des tampons hygiéniques sur les forces de l'ordre. D'autres auraient marqué deux sites de tags. Hier matin, le monument aux morts de Saint Aubin était toujours marqué d'un sigle féminin, un muret de la Caisse d'allocations familiales, rue Riquet, porte la mention «Les femmes niquent la CAF». Des voitures auraient été rayées, des vitrines de commerçants fracturées et des passants en terrasse de café insultés, toujours selon la police qui a comptabilisé 200 personnes dans ce rassemblement où les hommes n'étaient pas les bienvenus. Les forces de l'ordre racontent avoir fait face à des refus d'obtempérer et à des réactions violentes de la part de manifestantes. Deux femmes, âgées de 32 ans et 30 ans, ont été placées en garde à vue. L'une est originaire de Toulouse, l'autre d'Ariège. Ces incidents se sont déroulés alors que différents événements avaient été organisés pour marquer la Journée de lutte contre les violences faites aux femmes. En fin de matinée, une manifestation avait rassemblé une centaine de personnes, rappelant les besoins encore importants d'hébergements pour les victimes de violences conjugales et familiales. Le forum de sensibilisation et de rencontres, square de Gaulle, a également été très fréquenté. Une stèle unique en France Dans la soirée, le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, a dévoilé une statue, près du Grand Rond, en mémoire des femmes victimes de violence machistes, une première en France. Elle mentionne symboliquement le prénom de Sarah, en référence à la jeune Toulousaine Sarah Giraud, morte en 2008 à l'âge de 19 ans, morte d'une ingestion massive de médicaments, sur fond de violences conjugales.

1/ Qui manifestait à Toulouse ? 2/ Pour quelle occasion était organisée cette manifestation ? 3/ Les hommes étaient-ils présents ? 4/ La manifestation s’est-elle bien passée ? Pourquoi ? 5/ Quelles violences ont eu lieues ? 6/ Pourquoi une statue a-t-elle été installée par le maire ?

Expression écrite : Vous êtes une féministe modérée et vous décidez d’écrire une lettre ouverte dans le journal « Le Monde » dans laquelle vous donnez votre avis sur les agissements des féministes radicales.

Expression écrite : Vous êtes un lecteur du monde et vous donnez votre avis dans une lettre ouverte sur le féminisme et les mouvements qu’il engendre.

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